Publié par Alec
Ça y est! Premier contact avec Frédéric Laurier alias DJ Pfreud.
Fred est un designer sonore. Il conçoit et réalise des trames et des
univers sonores pour des films, des émissions et des publicités pour le Boogie Studio, à Montréal.
«
Depuis plus de 8 ans, Frédéric est concepteur sonore et mixeur tant
dans le domaine de la pub que celui de la télévision et du cinéma. On
notera au passage son travail sur les films "Grande Ourse - La clé des
possibles" et Nitro.
Comparé à un canif suisse, il est reconnu
par sa grande aptitude à sculpter les sons d'une façon très originale
et détaillée. Il est aussi reconnu pour sa grande aptitude à la
recherche musicale. Ce qui s'explique par le fait qu'il est DJ à ses
heures depuis une quinzaine d'années. »
Source Boogie Studio
Le
projet l’intéresse vraiment. Le défi est de taille. Mais sa curiosité
et son esprit créatif sont clairement stimulés par ce projet.
Il
va faire quelques tests de logiciels et d’échantillonnages, de son côté.
De mon côté, je continue mes propres tests de prise de son et de
mouvements.
Puis nous commencerons les "Jams" exploratoires!
Notre
première rencontre s’est vite transformée en « Brainstorm ». Tellement
d’idées ont surgit, qu’il va falloir fonctionner étape par étape et
valider chaque progression vers ce qu’on pourrait appeler une sorte
d’improvisation contrôlée, afin de définir notre niveau de
communication, notre « langage » interactif.
Le défi
est technologique aussi. Dans un premier temps, nous nous contenterons
de canaux stéréos afin de transmettre les impulsions de la toile vers
ses machines. Plus tard, nous assignerons certains capteurs à des canaux
spécifiques, afin de contrôler certaines zones sonores ou séquences
préenregistrées. Les possibilités sont légion et il n’en tient qu’à nous
de les exploiter adéquatement.
Nous avons parlé aussi
du fait que d’autres collaborateurs pourraient se joindre à nous, tels
qu’un vidéaste qui pourrait faire de l’édition vidéo en direct afin
d’augmenter l’aspect visuel de la performance. Un autre « bidouilleur »
électronique pourrait aussi prendre part au spectacle pour s’occuper par
exemple, spécifiquement des rythmes ou des enveloppes.